James Coleman
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Pendant des millénaires, les artistes ont parlé par le biais d'images et de sculptures afin de transmettre la réalité à laquelle ils se réfèrent. Ces dessins sur les murs et les sculptures représentent des moments ressentis dans le temps.
Ce sont mes endroits sombres que j’ai appris à respecter et à transposer dans un langage qui peut être partagé.
Les images sculptées et peintes de formes mi-humaines, mi-animales représentent leurs corps comme les symptômes d'une crise sociétale, comme des forces de déconstruction et de métamorphose. J'ai revêtu les dessins sur les murs d'un motif de colombes de la Renaissance, les sculptures sont habillées de soie, de peaux et de velours pour recouvrir des objets anciens, des meubles et des éléments de mannequin. Ces archétypes incarnés sont connus de tous. Il existe une étrange familiarité avec leur présence énigmatique grotesque. Ils se parlent à eux mêmes, parlent entre eux et avec le spectateur et échangent par des dialogues interminables entre des individus en conflit. Avec les vaisseaux sanguins et les organes internes exposés, ils révèlent l’angoisse et le tourment de l’humanité.
L’écriture sur le mur est Blackberry de Silvia Plath.
La musique par
JS Bach BWV 614.
Nuit Blanch. Quartet.
Peer Ruben suite The marriage of Maria Braun.
Vivaldi Flautino Concerto in C Major.
For millennia people have spoken through images and sculpture as a way of conveying the reality to which they refer. These drawings on the walls and sculptures represent felt moments in time.
They are my dark places that I have learnt to respect and transpose into a language that can be shared.
The sculpted and painted images of half-human, half-animal forms declare their bodies as symptoms of a wider societal crisis, as forces of deconstruction and metamorphosis. I have clothed the drawings on the walls in a renaissance pattern of doves, the sculptures are clothed in silk, skins and velvets to cover old objects, furniture and mannequin parts. These embodied archetypes are part know by everyone. There is a strange familiarity to their grotesque enigmatic presence. They talk to themselves, to each other and to the viewer and speak of the endless contested dialogues between conflicting individuals. With blood vessels and internal organs exposed they reveal the anxiety and torment of humanity.
Pendant des millénaires, les artistes ont parlé par le biais d'images et de sculptures afin de transmettre la réalité à laquelle ils se réfèrent. Ces dessins sur les murs et les sculptures représentent des moments ressentis dans le temps.
Ce sont mes endroits sombres que j’ai appris à respecter et à transposer dans un langage qui peut être partagé.
Les images sculptées et peintes de formes mi-humaines, mi-animales représentent leurs corps comme les symptômes d'une crise sociétale, comme des forces de déconstruction et de métamorphose. J'ai revêtu les dessins sur les murs d'un motif de colombes de la Renaissance, les sculptures sont habillées de soie, de peaux et de velours pour recouvrir des objets anciens, des meubles et des éléments de mannequin. Ces archétypes incarnés sont connus de tous. Il existe une étrange familiarité avec leur présence énigmatique grotesque. Ils se parlent à eux mêmes, parlent entre eux et avec le spectateur et échangent par des dialogues interminables entre des individus en conflit. Avec les vaisseaux sanguins et les organes internes exposés, ils révèlent l’angoisse et le tourment de l’humanité.
L’écriture sur le mur est Blackberry de Silvia Plath.
La musique par
JS Bach BWV 614.
Nuit Blanch. Quartet.
Peer Ruben suite The marriage of Maria Braun.
Vivaldi Flautino Concerto in C Major.
For millennia people have spoken through images and sculpture as a way of conveying the reality to which they refer. These drawings on the walls and sculptures represent felt moments in time.
They are my dark places that I have learnt to respect and transpose into a language that can be shared.
The sculpted and painted images of half-human, half-animal forms declare their bodies as symptoms of a wider societal crisis, as forces of deconstruction and metamorphosis. I have clothed the drawings on the walls in a renaissance pattern of doves, the sculptures are clothed in silk, skins and velvets to cover old objects, furniture and mannequin parts. These embodied archetypes are part know by everyone. There is a strange familiarity to their grotesque enigmatic presence. They talk to themselves, to each other and to the viewer and speak of the endless contested dialogues between conflicting individuals. With blood vessels and internal organs exposed they reveal the anxiety and torment of humanity.