James Coleman
The film is a response to meeting Christian Boltanski in London at an open forum interview with his good friend and art critic Hans Ulrich Obrist.
Boltanski’s work deals with the vital questions of death, breath and nature in decay. For him art is about relaying emotions. He says that each of his works stem from a particular historical or psychoanalytic event which must be told in order to be understood. He sees life as a series of successive deaths, a permanent mourning for the self and for the child that one has ceased to be.
My film explores these same issues. It is about living life to the full but always with the constant reminder that death is only a breath away. I created the shape of a poppy as a metaphor for mortality so the viewer can see life filtered through this window. From here the highs and lows of life whizz past; portraits of relationships, real and psychoanalytical space, containers of memory archived through the moving image, worry, fear, sex and all the emotions, with only a few pauses for breath in the sublime colourful moments of peace.
2019 Les Sarabandes, Rouilliac. France. La Vie Par La Mort
2011 Videoholica Festival Varna, Bulgaria. La Vie Par La Mort.
2011 Traverse Video Festival, Art Proxime’ screening/interview/ publication. Toulouse, France. La Vie Par La Mort, with exhibition catalogue Editor Simone Dompeyre. 2011
2010 Abandon Normal Devices Festival, Screening and international tour. Cornerhouse, Manchester, UK. La Vie Par La Mort.
La Vie Par La Mort.
Le film est une réponse à la rencontre de Christian Boltanski à Londres lors d'un entretien public avec son grand ami et critique d'art Hans Ulrich Obrist. Le travail de Boltanski traite des questions vitales de la mort, du souffle et de la nature en décomposition. Pour lui, l'art consiste à transmettre des émotions. Il dit que chacune de ses œuvres provient d'un événement historique ou psychanalytique particulier qui doit être exprimé pour être compris. Il voit la vie comme une série de morts successives, un deuil permanent pour soi et pour l'enfant qu'on a cessé d’être.
Mon film explore ces mêmes problèmes. Il s'agit de vivre la vie pleinement en se rappelant constamment que la vie ne tient qu’a’ un fil. J’ai créé la forme d'un coquelicot comme une métaphore de la mortalité afin que le spectateur puisse voir la vie filtrée par le coquelicot. De là les hauts et les bas de la vie passée; portraits de relations, espace réel et psychanalytique, des lambeaux de mémoire archive par le biais de l’image en mouvement, inquiétude, peur, sexe et toutes les émotions, avec seulement quelques pauses pour respirer dans les sublimes moments colorés de paix de l’âme.
Boltanski’s work deals with the vital questions of death, breath and nature in decay. For him art is about relaying emotions. He says that each of his works stem from a particular historical or psychoanalytic event which must be told in order to be understood. He sees life as a series of successive deaths, a permanent mourning for the self and for the child that one has ceased to be.
My film explores these same issues. It is about living life to the full but always with the constant reminder that death is only a breath away. I created the shape of a poppy as a metaphor for mortality so the viewer can see life filtered through this window. From here the highs and lows of life whizz past; portraits of relationships, real and psychoanalytical space, containers of memory archived through the moving image, worry, fear, sex and all the emotions, with only a few pauses for breath in the sublime colourful moments of peace.
2019 Les Sarabandes, Rouilliac. France. La Vie Par La Mort
2011 Videoholica Festival Varna, Bulgaria. La Vie Par La Mort.
2011 Traverse Video Festival, Art Proxime’ screening/interview/ publication. Toulouse, France. La Vie Par La Mort, with exhibition catalogue Editor Simone Dompeyre. 2011
2010 Abandon Normal Devices Festival, Screening and international tour. Cornerhouse, Manchester, UK. La Vie Par La Mort.
La Vie Par La Mort.
Le film est une réponse à la rencontre de Christian Boltanski à Londres lors d'un entretien public avec son grand ami et critique d'art Hans Ulrich Obrist. Le travail de Boltanski traite des questions vitales de la mort, du souffle et de la nature en décomposition. Pour lui, l'art consiste à transmettre des émotions. Il dit que chacune de ses œuvres provient d'un événement historique ou psychanalytique particulier qui doit être exprimé pour être compris. Il voit la vie comme une série de morts successives, un deuil permanent pour soi et pour l'enfant qu'on a cessé d’être.
Mon film explore ces mêmes problèmes. Il s'agit de vivre la vie pleinement en se rappelant constamment que la vie ne tient qu’a’ un fil. J’ai créé la forme d'un coquelicot comme une métaphore de la mortalité afin que le spectateur puisse voir la vie filtrée par le coquelicot. De là les hauts et les bas de la vie passée; portraits de relations, espace réel et psychanalytique, des lambeaux de mémoire archive par le biais de l’image en mouvement, inquiétude, peur, sexe et toutes les émotions, avec seulement quelques pauses pour respirer dans les sublimes moments colorés de paix de l’âme.